PARENTHÈSE MARTINIQUAISE

C’est le mois de mai. 

Alors, on fait ce qu’il nous plait ? 

Oui oui oui. 

Besoin de couper, de changer d’air, de s’échapper. De relativiser. De se reposer. Departir.

Un petit-long week end. Away. 

Miami ? Fatiguant d’avance. New York ? La tirelire ne tiendra pas le choc. Les BVI ? En bateau sinon rien. Cuba ? Manque de temps... La Martinique ? Va pour la Martinique. 

Départ jeudi 2 mai à 17h30, retour lundi 6 mai à 17h00. 4 jours, 4 nuits, 96 heures. 

Après avoir épluché rapidement les quelques annonces sur Booking (l’offre n’est pas fameuse), nous jetons notre dévolu sur une petite cabane en bois en bord de rivière, située dans une ancienne plantation de rhum du 17ème siècle, en plein milieu de la jungle. 

Prendre la fraîcheur et changer du quotidien. 

C’est booké sur Booking, c’est bon aussi pour les billets d’avion à prix d’or (vive la dernière minute !) chez Air Caraïbes et la petite voiture de location avec Car Rentals. 

Y’a plus qu’à. 

C’est le mois de mai. 

Alors, on fait ce qu’il nous plait ? 

Oui oui oui. 

Besoin de couper, de changer d’air, de s’échapper. De relativiser. De se reposer. Departir.

Un petit-long week end. Away. 

Miami ? Fatiguant d’avance. New York ? La tirelire ne tiendra pas le choc. Les BVI ? En bateau sinon rien. Cuba ? Manque de temps... La Martinique ? Va pour la Martinique. 

Départ jeudi 2 mai à 17h30, retour lundi 6 mai à 17h00. 4 jours, 4 nuits, 96 heures. 

Après avoir épluché rapidement les quelques annonces sur Booking (l’offre n’est pas fameuse), nous jetons notre dévolu sur une petite cabane en bois en bord de rivière, située dans une ancienne plantation de rhum du 17ème siècle, en plein milieu de la jungle. 

Prendre la fraîcheur et changer du quotidien. 

C’est booké sur Booking, c’est bon aussi pour les billets d’avion à prix d’or (vive la dernière minute !) chez Air Caraïbes et la petite voiture de location avec Car Rentals. 

Y’a plus qu’à. 
Arrivée en Martinique, récupération de la micro voiture de location et début de l’exploration (de nuit) en traversant une partie de l’île pour retrouver notre logement, rencontre avec notre hôte, petit planteur de bienvenu bien corsé et gros dodo sous le ventilo. 
Puis petit déjeuner à base d’œufs de poules et fruits frais de la propriété. Miam. Les vacances commencent bien !!

S’en est suivi 3 jours de détente plus ou moins sportive selon l’humeur, la météo, les recommandations des uns et des autres, le timing... 

Se laisser aller. Lâcher prise. 

Fraîcheur, 

Douceur, 

Bonheur. 

Arrivée en Martinique, récupération de la micro voiture de location et début de l’exploration (de nuit) en traversant une partie de l’île pour retrouver notre logement, rencontre avec notre hôte, petit planteur de bienvenu bien corsé et gros dodo sous le ventilo. 
Puis petit déjeuner à base d’œufs de poules et fruits frais de la propriété. Miam. Les vacances commencent bien !!

S’en est suivi 3 jours de détente plus ou moins sportive selon l’humeur, la météo, les recommandations des uns et des autres, le timing... 

Se laisser aller. Lâcher prise. 

Fraîcheur, 

Douceur, 

Bonheur. 

Nous avons adoré la balade jusqu’à la Cascade Didier, que nous avons eu la chance d’apprécier sans personne. De la verdure, une remontée scabreuse par la rivière et une puissante cascade pour faire les fous dans le plus simple appareil. 

Nous avons tourné et viré dans le Nord de la Martinique à bord de notre Peugeot-108-manuelle-non-sportive.

Nous avons admiré la dense végétation et j’ai crié en rencontrant ses petites habitantes poilues soit-disant-non-venimeuses (mouais).  

Nous avons évité les restaurants (tellement peu attrayants!!) et autres “services” tournés vers le tourisme. Oh mon Dieu. On a tellement mieux à la maison. Ça fait relativiser!
Nous nous sommes dépassés pour effectuer la randonnée entre le village de Prêcheur et celui de Grand Rivière. 14,4 kilomètres, pas loin de 5 heures de marche (une semaine de courbatures !!) suivi d’un déjeuner dominical chez Tante Arlette (sans commentaire) et un retour au point de départ par la mer, à bord d’un bateau de pêcheur. 

Nous avons testé la balade jusqu’à la Cascade Couleuvre et avons rebroussé chemin à la vue de la foule présente dans ce micro bassin, sous cette cascade qui ne cascadait pas... Et avons finit dans la rivière en contre bas, enfin seuls. 

Nous avons adoré la balade jusqu’à la Cascade Didier, que nous avons eu la chance d’apprécier sans personne. De la verdure, une remontée scabreuse par la rivière et une puissante cascade pour faire les fous dans le plus simple appareil. 

Nous avons tourné et viré dans le Nord de la Martinique à bord de notre Peugeot-108-manuelle-non-sportive.

Nous avons admiré la dense végétation et j’ai crié en rencontrant ses petites habitantes poilues soit-disant-non-venimeuses (mouais).  

Nous avons évité les restaurants (tellement peu attrayants!!) et autres “services” tournés vers le tourisme. Oh mon Dieu. On a tellement mieux à la maison. Ça fait relativiser!
Nous nous sommes dépassés pour effectuer la randonnée entre le village de Prêcheur et celui de Grand Rivière. 14,4 kilomètres, pas loin de 5 heures de marche (une semaine de courbatures !!) suivi d’un déjeuner dominical chez Tante Arlette (sans commentaire) et un retour au point de départ par la mer, à bord d’un bateau de pêcheur. 

Nous avons testé la balade jusqu’à la Cascade Couleuvre et avons rebroussé chemin à la vue de la foule présente dans ce micro bassin, sous cette cascade qui ne cascadait pas... Et avons finit dans la rivière en contre bas, enfin seuls. 
    • Bref, nous avons profité de cette petite escapade comme bon nous en a semblé. 
    Puis nous sommes revenus sur St. Martin, les batteries rechargées, dans l’attente du prochain vrai voyage au mois de Septembre.

    En attendant, il faut se remettre à travailler ! 

    Tiembè raid, 

    pa moli ! 

    Bref, nous avons profité de cette petite escapade comme bon nous en a semblé. 
    Puis nous sommes revenus sur St. Martin, les batteries rechargées, dans l’attente du prochain vrai voyage au mois de Septembre.

    En attendant, il faut se remettre à travailler ! 

    Tiembè raid, 

    pa moli ! 

    Départ pour le prochain voyage dans...

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